L'AFMPS et Sciensano mettent en garde contre la consommation de comprimés d'ivermectine falsifiés utilisés en automédication pour lutter contre la covid. Ces comprimés sont systématiquement sous-dosés ou gravement contaminés par des bactéries.
"Il est utopique de penser que lorsqu'un besoin non rencontré est défini ou répertorié, sa solution suivra automatiquement et dans un délai raisonnable", assène jeudi le secteur biopharmaceutique en réaction à la mise en place d'un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.
Les membres du syndicat chrétien ACV Puls ont mené une action jeudi devant les parlements flamand et fédéral à Bruxelles pour réclamer davantage d'investissements dans les soins, le bien-être et la culture.
Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.
La cellule de veille sanitaire du Collège de médecine générale de Belgique francophone (CMG) interpelle les pouvoirs publics au niveau fédéral et régional : "Les médecins généralistes sont empêchés de réaliser leur travail préventif et curatif lors d'une suspicion de coqueluche. La répartition des compétences entre niveaux de pouvoir complique la tâche."
En janvier ils étaient 48. A partir du 1er avril 2024, ils seront 134 médecins généralistes (122 en pratique de groupe et 12 en pratique solo) qui travailleront selon le nouveau modèle d'organisation et de financement appelé New Deal.
Depuis le quai des Ardennes à Liège, venez ressentir la ferveur du départ de la Doyenne des classiques. Profitez d'un petit déjeuner au plus près du départ de l'un des cinq monuments du cyclisme.
Les Contenus Partenaires du Journal du Médecin offrent aux entreprises, organisations et organismes publics l'accès au réseau du Journal du Médecin. Les partenaires impliqués sont responsables du contenu.